Je ne crois pas aux symboles. Pas de manière aisée, en tout cas. Je suis de celle qui voudraient faire des index, qui pèsent le pour et le avoisinant, qui choisissent en sillonnant les fabriquer. Mais il faudrait bien se dire que de temps en temps, les fabriquer ne suffisent plus. Il est fabriqué avec du temps où rien ne tient. Où aucune équation ne donne de votre réponse rationnel. Et c’est dans l’un de ces journées que je me suis retrouvé, un soir, à compter un difficulté gratuit. Je n’avais pas prévu ça. Ce n’était pas une battue. J’étais tombé sur le pont partagé dans un cours de différend. Un tracasserie automatique en ligne, trois cartes, zéro inscription. J’ai cliqué, juste pour concevoir. Pas pour y se voir. Pour dévier le temps. L’interface était riche. On choisit les cartes, on les retourne. Et on lit. Rien de plus. J’ai eu une lame liée à l’attente, une autre à la rupture, une tierce à bien la reconstruction. Ça pourrait s’appliquer à n’importe qui. C’est ce que je me suis formulé. Et cependant, j’ai lu jusqu’au cadre. Puis j’ai relu. Et j’ai débuté à cogiter. Ce n’était pas la dissertation qui m’accrochait. C’était la discernement arrière les emblèmes. Chaque carte ne disait rien par elle-même. Mais de compagnie, elles dessinaient une image. Un début, une cassure, une suite future. Et là, dans cette constitution, je reconnaissais ma gouvernement. Non pas les détails, mais l’ossature. Je sortais d’un épisode travail sec et brutal. Une fermeture de poste. Un préjugé avorté. Pas d’humiliation, mais un effacement net. Je ne l’avais pas mal fait l'expérience sur le instant. Mais sur, je tournais en courbe. J’avais mille idées, zéro direction. Et ce vexation, de plus simpliste soit-il, venait numéroter là où je faisais semblant de ne pas accoster. Je n’ai pas pris ça pour une solution. Je n’ai pas changé de rayonnage en parcourant trois phrases. Mais j’ai compté forcé d’admettre une chose : il ne s’agissait pas d’interpréter les cartes. Il s’agissait d'apprécier ce que j’y projetais. C’est ça, réaliser un souci gratuit. Ce n’est pas présager l’avenir. C’est déclencher une réaction. Une friction avec le réel. Quelque chose qui vous oblige à présenter les yeux là où vous n’aviez pas loi d'attraction de voir. Ce n’est pas ce que disent les cartes qui compte. C’est ce que vous découvrez dedans. Et ce que vous choisissez d’en faire naître. Je n’ai pas partagé cette expérience. Je ne me suis pas revêtu à bien décharger les cartes tous les soirs. J’ai gardé ça pour individualité. Comme un domaine. Comme on conserve une photo capture par destin, floue, mauvaise humeur cadrée, mais dans à des éléments vous traite nonobstant tout. Ce qui m’a le plus surpris, ce n’est pas que ce alarme ait visé juste. C’est que je l’aie pris au sérieux. Pas à savoir une authenticité. Comme voyance olivier un tournant. Une journée. Le geste que ce soit gratuit, sans extrémité, sans validation extérieure, rendait l’expérience plus féroce. Il n’y avait aucun enjeu. Donc aucune protection. Je sais que ce type d’outil est couramment tourné en ridicule. Et je comprends intention. C’est supposé, c’est ouvert, c’est interprétable à bien l’infini. Mais admirablement. C’est un bombe. Ce n’est pas censé décider à de la place dont vous disposez. C’est censé susciter une réaction mystérieuse. J’ai recommencé, une fois ou deux. Toujours sur des tirages gratuits. Toujours dans de quelques instants où je n’attendais pas de réponse, mais où j’avais principe de me repositionner. Jamais pour nous guider ce qui allait se faire. Toujours pour renfermer ce que je n’arrivais plus à se rendre compte clairement. Et ça est valable. Pas par magie. Par contraste. Alors non, je ne crois pas encore aux caractères. Mais je pense à leur valeur. Quand ils sont correctement utilisés. Quand on ne leur requête pas de prédire, mais de révéler. Interpréter un vexation gratuit, pour individualité, ce n’est pas une credos. C’est une méthode. Simple, naturel, vandale. Et parfois, c’est exactement ce qu’il faudrait pour évacuer du flottement.